Tu vois tu disais que tu avais peur qu'on s'abandonne si l'une de nous trouvait quelqu'un ou si l'une de nous deux décrochait.
Je ne sais pas.
Je ne sais plus ce qui a merdé.
Je crois que c'est moi qui ai décroché, et que c'est toi qui m'abandonne en ce moment même.
Et ça me donne une sale envie de pleurer.

Mais je ne renie rien. Je n'oublie rien.
Moi je ne t'abandonne pas, et je serais toujours présente.
Tu fais partie de l'époque la plus marquante de ma vie.
La plus triste.
La plus créative aussi.
Tu m'as aidé à me relever peu à peu.
Non, c'était pas du grand art ces fictions qu'on écrivait. Mais tu m'as redonné de l'espoir... De l'estime. Et c'est comme ça que tout a commencé.
Alors, définitivement, je ne t'oublie pas.
Je te suis reconnaissante.
.Merci.

"Bamchikawawa", c'est ce que je me suis dis quand j'ai vu Georg pour la première fois. Genre BAMchikawaAAwaaw !
Il était le portrait craché de Christophe.
"Bamchikawawa" ça a été moi pendant quelques années. Je rends les armes.




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