Espoir.d.un.meilleur.demain

Reflexions acides d'une ado attardee

Vendredi 7 octobre 2011 à 11:30

Je me sens obligée de encore une fois m’excuser pour le clash de l’année dernière parce que je suis consciente qu’à chaque fois que j’ai eu l’air de nous donner une seconde chance, je nous ai fait faux bond. Mais l’année dernière, quand je l'ai rencontré, je suis juste… tombée amoureuse et même si je t’ai fais du mal sur le coup, je ne regrette rien car aujourd’hui, (même si ce n’est pas toujours tout rose, c’est normal), je sais, je le sens, et je l’espère de tout mon cœur : c’est le dernier.

Je suis quand même partagée entre la joie d’avoir de tes nouvelles, et la colère parce qu’on avait dit qu’on se laissait tranquille que c’était mieux comme ça. Alors je ne sais plus ce qui est le mieux. Ce qui est certain c’est que nous ne garderons pas contact, car ça pourrait être très mal perçu par mon sicilien de copain. La deuxième chose qui est certaine, c’est que je ne t’oublie pas Christophe. Je ne peux pas et je ne pourrais pas même par le futur. J’aime mon copain de tout mon cœur, mais reste que c’est ensemble qu’on a appris l’amour. Et c’est quelque chose qu’on ne peut pas oublier. Tu resteras forcément quelqu’un de spécial à mes yeux. Et je n’ai pas honte de t’écrire tout ça, même si ce n’est pas ce que tu ressens. La troisième chose qui est sûr c’est que si tu arrive à demander des nouvelles à ton ex copine sans que ça te chamboule, alors sans doute que nous n’avons pas vécu la même histoire de la même manière.

Est ce que je vais rester marquée au fer rouge par cette histoire ? ? Est ce qu'un jour je finirai par cicatriser ? Ca n'aurait jamais marché.

Mercredi 15 juin 2011 à 23:24

Tu vois tu disais que tu avais peur qu'on s'abandonne si l'une de nous trouvait quelqu'un ou si l'une de nous deux décrochait.
Je ne sais pas.
Je ne sais plus ce qui a merdé.
Je crois que c'est moi qui ai décroché, et que c'est toi qui m'abandonne en ce moment même.
Et ça me donne une sale envie de pleurer.

Mais je ne renie rien. Je n'oublie rien.
Moi je ne t'abandonne pas, et je serais toujours présente.
Tu fais partie de l'époque la plus marquante de ma vie.
La plus triste.
La plus créative aussi.
Tu m'as aidé à me relever peu à peu.
Non, c'était pas du grand art ces fictions qu'on écrivait. Mais tu m'as redonné de l'espoir... De l'estime. Et c'est comme ça que tout a commencé.
Alors, définitivement, je ne t'oublie pas.
Je te suis reconnaissante.
.Merci.

"Bamchikawawa", c'est ce que je me suis dis quand j'ai vu Georg pour la première fois. Genre BAMchikawaAAwaaw !
Il était le portrait craché de Christophe.
"Bamchikawawa" ça a été moi pendant quelques années. Je rends les armes.




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Samedi 14 mai 2011 à 0:46

Un de mes artistes favoris a chanté "Soulmates never die". J'aurais préféré qu'un beau jour elles meurent. Je crois qu'on ne peut pas oublié un premier amour. Je crois que je ne savais pas vraiment ce que je faisais avec lui. "Je te veux, mais pas tout de suite". Quelle conne !

Mais c'est comme ça, on dit qu'il ne faut pas regretter. Je ne regrette rien, et j'aimerais juste pouvoir avancer dans ma vie sans forcément penser à lui. J'aimerais pouvoir hurler à la Terre entière combien mon nouveau mec me rend encore plus heureuse que lui. J'aimerais vivre sans me demander ce qu'il devient et épier son compte Facebook (auquel je n'ai d'ailleurs pas totalement accès), et celui de sa nouvelle copine !

J'espère que sa mère est aussi ôdieuse avec elle qu'elle avait pu l'être à certain moment avec moi. Je ne lui ai jamais dis que je ne l'aimais pas. Et c'était le cas. "
Justine, elle est comme moi : elle pourra jamais maigrir, elle aura toujours ce p'tit ventre !" --> ET MA B*** AU FOND D'TA GORGE !

Puisque chaque fois qu'il se trouve une nouvelle nana, j'ai la conviction d'être encore amoureuse de lui je vais lister ce que je détestais chez lui.

> Sa mère (pour bien commencer !)
> Sa jalousie et sa possessivité.
> Son envie d'enfant.
> Son sourire. On ne voyait pas ses dents quand il souriait. What's the point ? ?
> La musique bizarre qu'il écoutait.
> Sa pilosité.
> La taille de son engin n'était pas vraiment honorable.

Je suis sensée, lorsque je semble faiblir, lire cette liste et me dire "Qu'est ce que j'ai foutu 4 ans avec un type pareil ?" La en ce moment ça m'a l'air de plutôt bien marcher. A voir d'ici demain si j'y repense !

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Dimanche 19 septembre 2010 à 12:32

Ca fait quelque chose comme une année que je n'ai rien posté ici. Je crois. Peut-être moins.
J'ai rencontré quelqu'un il y a bientôt 10 mois de ça en arrière.Tout n'est pas rose, mais je ne suis pas là pour parler de mon incapacité à comprendre les hommes avec un petit h.

Me voilà installée à Lille dans le Nord de la France. Je répète sans cesse que je déteste ce que je fais dans la vie. Mais je ne fais rien pour faire quelque chose que j'aime dans la vie ! Surement que j'aurais pu entammer quelque chose qui me plait. Mais surement que je suis trop effrayée pour entammer quoi que ce soit qui soit hors de mes connaissances.

Ma vie est une bonne grosse blague. Ca va bientôt faire 24 ans que je misère. J'ai miseré d'abord à l'école, puis dans mes relations avec les autres, puis à trouver à ma voie, puis avec mes relations amoureuses, puis avec l'argent. Est ce que j'ai droit à un répis ? Non pas du tout ? Faut encore que je fasse du service en salle 4 étoiles ? Que je me ridiculise 2 jours par semaines devant des gens qui s'attendent à une prestation 4 étoiles ?

J'ai juste envie de dire Merde. A tout. Merde à l'école, Merde au Mercure. Merde à mon mec qui ne sait pas que j'ai pas envie de le partager avec je ne sait combien de millions de français. Merde à mes profs qui ne gèrent rien. Merde à mon proprio qui me loue une cage à rat avec vue sur périph' pour 500€/mois. Merde à cette bagnole qui tombe en rade tous les 24 du mois.

Je suis quelqu'un de bien. Je rechigne pas à propos de mon travail ailleurs que sur ce blog. Si il faut faire des heures supp' je les fais et sans râler. Je ne demande pas mieux que d'assimiler les choses aussi vite qu'une personne dite "normale". Il m'est arrivé de baisser les bras, bien sûr. Mais je demandais pas plus qu'une vie normale. Je méritais pas tout ce que la vie m'a infligé. Vraiment pas.

Mardi 30 mars 2010 à 0:05

La vision des placards qui se vident petit à petit laisse mon petit coeur meurtri. Je ne suis pas mécontente de quitter cette appartement. Mais je suis Ô combien éffondrée de laisser ici une personne qui m'est chère.

Bizarrement il ne m'écoute jamais, me coupe la parole, passe parfois ses nerfs sur moi, et m'a déjà fait pleurer un bon nombre de fois. Mais en même temps il me fait rire, me rassure, embrasse divinement bien et a la peau incroyablement douce.
.Et j'ai l'intime conviction qu'il pourrait bien être l'homme de ma vie.


Il est 23:55 et dans 5 minutes nous seront mercredi. Et alors quand on sera mercredi je pourrais me dire "Bon sang, je rentre demain". Le séjour n'a pas été tout rose. Je crois que je suis sur le bon chemin mais il est encore un peu tortueux. J'espère juste qu'à la fin de ces virages j'y retrouverai Giuseppe.

Il est 00:05, bon sang, je rentre demain !

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